Yuna Hime
Je suis un petit nouveau ♥.
Messages : 48
Date d'inscription : 24/12/2009
Age : 30
Région : Bretagne ♥
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Sujet: Yuna Hime aimerait bien être en chocolat :) Lun 4 Jan - 22:45 |
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Mes motivations • Pourquoi ? Hum... Si je pouvais, je passerai mes journées à écrire des histoires mais comme j'ai des cours, que la journée n'a que 24 heures et que je dois en plus dormir, je ne passe pas mes journées devant mon ordi. Comme vous l'aurez sûrement compris, j'adore écrire et j'ai toujours une petite idée qui me trotte dans la tête. Pour que mon imagination se réveille réellement (la plupart du temps elle est en mode veille --") j'écoute de la musique et là : c'est partit les amis Euh... pardon ><" Donc, mes motivations seraient le fait que j'adore écrire et que si mon imagination peut aider des personnes, autant qu'elle le fasse. Je ne crois pas avoir un style incroyable ou quoi que ce soit mais je dois avouer que j'ai une imagination totalement barrée et je peux écrire des choses tristes aussi facilement que des choses drôles. Puisque j'aime écrire, autant aider quelqu'un qui en a la flemme x)Pourquoi ce poste ? • Argh... Parce que j'aime écrire ? Euh... Je ne sais pas trop quoi dire. J'aime bien grapher mais sur ce point, j'ai aucun talent --" Et puisque mon truc c'est écrire, écrire et encore écrire, bah j'me dis que mon imagination et moi-même pouvons peut être servir à quelque chose (au lieu de partir dans nos délires comme des connes toute seules --"). J'aime tout faire, dès qu'il s'agit d'imagination : contexte, PV's, personnages, etc... Je suis multi-fonction (ne vous inquiétez pas, je ne suis pas schizophrène, c'est juste que j'aime bien parler de mon imagination comme d'une personne xD Non je suis pas folle ><")Et...ça te dirai peut être d'être professeur ? • Professeur ? Ma foi pourquoi pas, mais je n'ai encore jamais fait ça xD Mais ça peut être drôle Un exemple de texte dont tu es l'auteur • Alors, j'vous en met deux totalement opposés. Si vous en voulez d'autres, n'hésitez pas à me le demander (j'en ai des centaines et des milliers sur mon ordi --") et si vous désirer un thème précis n'hésitez pas non plus (imagination *__*)
Extrait 1 : C'est partit d'un délire avec une amie lorsqu'on a décidé de créer un forum de RPG. On a imaginé une histoire et c'est moi qui ai écrit ça. C'est du n'importe quoi mais je me suis amusé à le lire, j'espère que vous vous amuserez aussi
- Spoiler:
Pensez-vous que la magie existe ? Pensez-vous que les loups-garous, les vampires ou les elfes existent ? Non ? Vous allez changer d’avis… Il n’y a qu’une seule vie par personne et une fois qu’on est mort, on est mort. C’est ce que vous croyez ? Vous allez vite changer d’avis. Et si un jour en rentrant du travail, vous passiez un portail comme les autres. Vous avez envie d’explorer l’autre côté du portail. Vous poussez cette grande porte de fer pour aller voir la vieille école en ruine. Vous entrez dans le jardin de l’école, les arbres sont immenses et derrière vous vous entendez des petits bruits. Intrigué, vous tournez la tête vers ce qui a provoqué le bruit et vous vous retrouvez face à un énorme loup dressé sur ses pattes arrière. Vous essayez de vous raisonnez : non les loups-garous n’existent pas. Mais ça ne marche pas, lorsque vous ouvrez vos yeux et sentez l’haleine putride de la créature vous n’avez qu’une idée en tête : fuir. Vous servant de la force motrice de vos pieds vous courrez, vous prenez vos jambes à votre cou et foncez droit devant. Vous entendez la créature émettre un petit « Eh ! Attendez ! » mais vous vous ressaisissez : les bestioles dans ce genre ça ne parle pas. Vous arrivez enfin devant le portail tant espéré et vous ouvrez la porte… ou du moins vous essayez. Et oui, cette fichue porte refuse de s’ouvrir et c’est peine perdue d’essayer de l’escalader. Sentant l’odeur putride de la créature vous vous retournez. Votre cœur bat à toute allure et vous voyez défiler devant vous toute votre vie. La créature s’approche en fronçant les sourcils. Tiens, les loups-garous ont des sourcils ? c’est ce que vous vous demandez. Mais pour vous plus rien n’a d’importance, la seule chose vraiment importante c’est de sauver votre peau. Vous établissez milles et un plans, tous aussi farfelus les uns que les autres et lorsque la créature se poste devant vous, vous sentez votre dernière heure arriver. Vous fermez les yeux en tremblant des pieds à la tête lorsque la créature ouvre sa bouche. - « Vous avez vos papiers ? » Étonné, vous ouvrez les yeux pour regarder le loup-garou placé en face de vous. Il vous fixe d’un air méprisant et tend sa patte droite. Il répète sa question avec une voix teintée d’exaspération et vous vous continuez de le regarder en écarquillant les yeux d’un air franchement stupide. Le loup-garou s’impatiente et commence à gronder. - « Vos papiers ! Vous devriez savoir qu’on ne rentre pas dans l’académie Weins sans papiers ! » - « A cadémie ? Mais c’est une ruine ! » réussissez-vous à baragouiner. - « Ruine ? Non mais dis-donc ! Vous vous prenez pour qui vous pour osez comparer l’académie à une ruine ?! » Vous l’avez mis en colère et il s’approche de vous d’un air pas très accueillant. Vous essayez de reculer mais vous sentez le portail contre votre dos. Plus aucune issu : vous êtes bloqué ! Tentant le tout pour le tout vous sortez votre portefeuille et vous le tendez à la créature. - « Vous voulez de l’argent ? En voilà ! Mais laissez-moi tranquille ! » Le loup-garou vous regarde maintenant d’un air totalement blasé. Il ouvre le portefeuille et regarde votre carte d’identité. Son regard passe alternativement de la photo sur votre carte d’identité à votre tête : il vous identifie. - « Alors comme ça vous êtes chef d’entreprise ? » - « Oui ! Jean-Hubert Norton, chef de l’entreprise Kiliton ! » Vous pensez que ça l’impressionne mais le loup-garou jette votre carte par terre.
- « Eh ! Faites attention ! » Il vous regarde d’un air mauvais et soupire. Il déchire votre portefeuille sous vos yeux et le jette aussi par terre. Vous vous jetez par terre pour essayer de sauver les quelques billets qui s’échappent de votre ancien porte-monnaie maintenant hors-service. Le loup-garou vous regarde d’un air méprisant et vous prend par le col.
- « Suivez-moi, jeune homme ! Je vous emmène au bureau de la directrice et vous allez pouvoir lui expliquer pourquoi vous vous trouvez dehors alors que le couvre-feu est passé depuis longtemps ! » Jeune homme ? Directrice ? Couvre-feu ? Vous ne comprenez plus rien et vous laissez embarquer sans résister. Vous traversez une petite forêt et vous arrivez devant un gigantesque bâtiment blanc. Des plantes grimpent sur les façades du bâtiment et les fenêtres sont entourées de peinture noire. La porte d’entrée est énorme et des plantes en délimite l’emplacement. Parmi ces plantes vous repérez des roses bleues, d’autres vertes ou encore bleu ciel. Plus rien ne vous étonne, si bien que lorsque vous vous retrouvez face à la porte d’entrée et que deux énormes yeux incrustés dans le bois vous fixent ça ne vous surprend même plus. Une énorme bouche en bois clair s’ouvre pour laisser entendre une voix comme celle que vous entendez lorsque vous êtes à la gare et qu'on vous annonce un TGV. - « Déclinez votre identité s’il vous plaît. » - « Je suis le concierge et lui c’est un crétin qui a essayé de sortir après le couvre-feu. » - « Cela ne me dit pas qui vous êtes… » - « Oh ça va Ayana ! Me fait pas ce coup là ! Je dois aller voir la directrice. » - « Bon d’accord je vous laisse passer. Mais c’est bien parce que c’est toi, hein ? » - « Merci ! Je te revaudrai ça ! » La porte s’ouvre et le loup-garou vous traîne à l’intérieur du bâtiment. Devant vos yeux ébahis se trouve une salle entièrement remplie de plantes toutes aussi grandes les unes que les autres. Des arbres se dressent fièrement dans l’établissement. Des oiseaux volent librement au dessus de votre tête, des oiseaux aux couleurs éclatantes. Une biche au pelage bleu foncé passe devant vous en galopant joyeusement. Des lianes retombent un peu partout dans la pièce, des lianes bleues, vertes, jaunes, orangées, mauves… La terre laisse place à une herbe multicolore où des racines d’arbres apparaissent laissant voir leur belle couleur rosée. Jamais vous n’avez vu pareil beauté… Le loup-garou vous emmène vers un escalier entièrement fait d’arbres poussant en forme de marche. Vous arrivez à un étage supérieur où les plantes laissent apparaître des portes de couleurs différentes. La créature qui vous accompagne vous dirige vers une porte dorée. Vous ouvrez la porte et entrez dans une grande pièce où se trouve un lac aux reflets argentés. Les roseaux sont de couleurs argenté et leur bout sont rose pâle. Des libellules roses et mauves volent tout autour de l’eau rose clair. Le loup-garou vous fait marcher au plus près du lac et vous fait asseoir sur un arbre mauve dont la forme fait penser à celle d’une chaise. Observant d’un œil émerveillé tout ce qui se passe autour de vous, vous entendez soudain le bruit de l’eau qui bouge. Et là, au milieu de ce lac magnifique apparaît une tête de femme. Arrivée près du bord, la tête de la femme s’élève vers le haut, laissant apparaître un corps pâle et des cheveux longs et blanc. Les trois yeux mauve de la femme vous fixe d’un air interrogatif. Lorsque cette déesse des eaux prend la parole, sa voix vous enchante et vous fait tourner la tête. Vous ne voyez plus rien d’autre qu’elle, elle et ses yeux magnifiques, elle et ses formes généreuses, elle et ses cheveux couleur neige. Qu’elle ait un visage aussi jeune et des cheveux blancs ne vous intrigue pas, qu’elle ait trois yeux ne vous gêne pas. Non, la seule chose qui vous intéresse c’est de la regarder, la regarder et encore la regarder. Vous ne vous en lassez pas et n’écoutez plus rien de ce qui se dit autour de vous. Vous regardez ses lèvres bouger et ses yeux vous observer. Vous ne sentez plus l’odeur pestilentielle du loup-garou, vous sentez son odeur à elle, son odeur parfumée, son odeur si envoûtante. - « Il est sortit après le couvre-feu, madame la directrice. » La voix rauque du loup-garou vous arrache à votre contemplation et vous le fusillez du regard. La directrice vous observe et s’enfonce dans le lac, disparaissant peut à peut de votre champ de vision, pour votre plus grand désarroi.
- « C’est un habitant de l’autre monde. Tu sais un de ces couillons qui pensent être les plus forts et les plus intelligents. Emmène-le dans le dortoir des garçons et donne-lui des vêtements à sa taille. A partir de maintenant il fera partit de l’académie et entrera dans la classe de première année. Il est en retard, il va falloir qu’il s’accroche pour passer son diplôme de fin d’année… » Diplôme de fin d’année ? Vêtements à sa taille ? De quoi parle-t-elle ? Le loup-garou vous fait sortir de la pièce et vous oblige à descendre les marches et à retourner dans le hall où se trouve toutes les plantes. Il vous entraîne vers un grand arbre orangé et frappe trois fois sur le tronc. L’arbre s’ouvre en deux et laisse apparaître des escaliers marrons. Vous suivez votre guide dans les profondeurs de l’arbres et lorsque vos yeux se sont habitués à l’obscurité vous vous rendez compte que vous êtes sous terre, au milieu des racines de l’arbre orangé. Les racines sont gigantesques et vous paraissez minuscules à côté d’elle. Le loup-garou vous emmène vers une porte orange. Il ouvre la porte et vous vous retrouvez dans une salle vert pâle et remplie de lits simples. La salle est assez grande et dans les lits des garçons dorment. Ils doivent avoir onze ans et dorment tranquillement. Le loup-garou vous emmène vers une porte vert foncé et l’ouvre, laissant apparaître un lac bleu pâle. Il vous montre des armoires bleues où figure les noms d’élèves. Votre nom est là, sur une armoire bleue. Vous ouvrez l’armoire et découvrez des habits d’écoliers, des uniformes et des pyjamas. Vous prenez un pyjama vert à rayures vert pâle. Vous allez vous changer derrière une gigantesque feuille et ressortez surpris de rentrer dans un aussi petit pyjama. Le loup-garou vous montre un miroir plus loin et vous allez vous observer. Dans le miroir, il y a un petit garçon avec des lunettes et des cheveux bruns coupés courts. Ce petit garçon vous ressemble étrangement et vous comprenez, ce petit garçon c’est vous. Avec trente ans de moins. Vous n’avez plus rien du chef d’entreprise de quarante ans que vous étiez quelques minutes auparavant. Non, vous avez retrouvé votre corps d’enfant, votre corps de onze ans. Le loup-garou vous entraîne dehors et vous vous retrouvez dans la salle verte où se trouvent les lits. Votre guide vous indique un lit vide près du mur et vous y aller. Vous vous mettez sous les couvertures et vous posez votre tête sur l’oreiller. Vous vous endormez immédiatement, encore rêveur de tout ce que vous avez vu aujourd’hui. Vous vous endormez et plus rien ne compte pour vous. Vous n’êtes même pas étonné de ce que vous venez de voir et plus rien ne vous surprend, vous êtes bien dans ce corps d’enfant, dans ce corps jeune et pas détruit par la cigarette. Vous êtes bien dans ce monde extraordinaire, vous êtes heureux et vous êtes vivant…
Bienvenue de l’autre côté du portail, Bienvenue dans l’Académie Weins…
Extrait 2 : Juste un petit texte qui rappelle la Seconde Guerre Mondiale. Les personnages sont ceux de Naruto donc ne vous étonnez pas si vous voyez apparaître Sasuke ^^
- Spoiler:
Un pas vers la Vie. Un pas vers la Mort.
Qu’est ce que ça représente ?
La Vie, la Mort, l’Amour, la Joie, la Tristesse ?
Pour moi, qui suis enfermé depuis plus de trente ans. Pour moi qui survis dans ces cellules en attendant que l’on comprenne mon innocence. Pour moi, pour lui, pour tous…
Je suis en ce monde depuis maintenant cinquante ans. J’ai vécu heureux jusqu’à ce que j’ai dix ans. En cette année là, nous étions en guerre, et chaque chose que l’on faisait pouvait nous être fatale…
J’ai survécus, j’ai supporté la mort de mes proches. La famine, la pauvreté, la guerre, le meurtre…
J’ai fait un pas vers la Vie lorsque ma petite sœur est née, on l’a nommée Sakura. Fleur de cerisier, ce nom lui allait si bien. Elle avait les yeux d’une belle couleur émeraude et des cheveux d’un rose pâle…
Elle n’aura vécut que trois ans…
J’ai fait un pas vers l’Amour lorsque je l’ai rencontrée. Ses cheveux d’un blond pur et ses yeux d’un bleu immense. Ino Yuna, j’aimais l’appeler « ma lune »… Nous nous aimions tellement…
Elle mourra lorsque j’aurais seize ans…
J’ai fait un pas vers la Joie, la première fois qu’Ino et Sakura se sont rencontrées. La Fleur de cerisier a rencontré la lune azur. Nous sortions tous les trois, nous amusions, rions… Sans penser à ce qui nous attendaient…
J’ai fait un pas vers la Tristesse lorsque le pays que j’aimais tant est entré en guerre. Lorsque le désespoir a gagné tous les visages, lorsque ma mère m’a avoué que nous étions voués à disparaître…
Tout a commencé il y a quarante ans…
Moi, Sasuke Uchiwa, je suis né dans une famille noble. Depuis tout petit, j’ai vécu dans l’insouciance, dans l’argent, dans la tranquillité… Hélas, le jour de mes dix ans, le pays est entré en guerre. Ils avaient tous oublié cette date pourtant si importante, tous sauf elle. Ino Yuna, ma lune. A ce moment là, nous ne nous étions pas encore déclarés nos sentiments…
Le lendemain, mes parents sont venus me voir le sourire aux lèvres. Ma mère était enceinte de trois mois. J’étais heureux, et je suis allé l’annoncer à Ino. C’est ce jour là qu’elle m’a avoué qu’elle m’aimait.
Six mois sont passés lentement. J’étais avec Ino, nous nous aimions. Le pays remportait la bataille, mais ma mère me répétait que ça n’étais pas fini.
Un jour, mon père a reçu une lettre rouge. Une convocation pour l’armée… C’est ainsi qu’il est partit sur le front. Le lendemain, ma mère accouchait.
Sakura est née. Lorsque je l’ai vu pour la première fois, je l’ai tout de suite aimée. Elle me fixait de ses grands yeux verts et me souriait. Ma mère est revenue au bout de quelque jour. Ino m’accompagnait et c’est comme ça que la lune a rencontré la fleur. Leurs yeux se sont croisés et ça tout de suite été l’entente…
Lorsque Sakura a eu un an, nous avons reçu une lettre du front… Mon père avait perdu la vie lors d’une bataille. Ma mère ne l’a pas supporté et elle s’est pendue… A ce moment, le pays commençait à se mourir et la famine arrivait. C’est ainsi que Sakura et moi, nous sommes retrouvés seul dans ces rues sombres. Notre maison avait été rasée par un obus. Dans l’explosion, les parents d’Ino avaient perdu la vie. Tous les trois, nous avons vécut ensemble dans les rues. A prier, marchander, mendier…
Lorsque Sakura a eu deux ans, le pays s’enfonçait de plus en plus. Chaque jour comptait ses cadavres nouveaux. Nous marchions dans la rue en évitant les cadavres, victimes de guerre, de famine ou de meurtre…
Je n’ai jamais tué personne, mon seul méfait a été de voler une miche de pain à un boulanger afin de nourrir Sakura et Ino…
Lorsque j’ai eu treize ans, Sakura est morte. Elle s’était endormie, fatiguée, mais ne s’est jamais plus réveillée. Sa maigreur faisait peine à voir, ses cheveux roses étaient couverts de poux. Ses yeux verts étaient ternes. Dans son dernier soupir elle a chuchoté un timide « Nii-san ».
Ino m’a aidé à surmonter le choc. Sans elle je me serais déjà tué. Elle a volé pour nous deux, a mendier pour deux. Elle a tout fait pendant que je marchais avec le corps de ma sœur dans les bras. Nous l’avons enterrée dans un parc, l’endroit où elle aimait tant aller. Ino m’aidait sans relâche, et je n’ai pas vu la maladie arriver…
Lorsque j’ai eu seize ans, j’ai commencé à remarquer qu’elle toussait fréquemment. Elle me disait de ne pas s’inquiéter et continuait à mendier. Malgré la peur, la famine et la mort, nous nous aimions. Pourtant, elle m’a quitté le douze décembre de cette année là. Le froid l’avait achevée. Déjà malade, le froid lui avait été fatal…
Je l’ai enterrée à côté de Sakura et chaque jour j’allais les voir…
Les quatre ans qui suivirent s’enchaînèrent lentement et tristement… J’étais seul et triste. Un jour, une armée inconnue est entrée dans le pays. Les soldats parlaient un langage que je ne comprenais pas. Ils tiraient partout, sur tout le monde. Ce jour là, j’ai vu la mort de près. Elle est passée devant moi mais ne s’est pas arrêtée. On m’a mit en prison en m’accusant du meurtre de toutes ces personnes…
Mon seul méfait avait été d’être présent à ce moment, d’avoir vu et d’avoir entendu…
Depuis, trente ans ont passés et je suis encore dans cette cellule. Je revois Ino, Sakura, mes parents, mes amis…
J’ai fait un pas vers la Vie… Sakura.
J’ai fait un pas vers l’Amour… Ino.
J’ai fait un pas vers la Joie… Mes amis
J’ai fait un pas vers la Tristesse… Mes parents.
J’ai fait un pas vers tout ça…
Et maintenant, je vais faire un dernier pas, celui qui me sauvera. Car ce ne sera pas le gouvernement qui me retient prisonnier depuis tellement longtemps sans raison. Car ce ne sera pas la paix, pas la guerre, pas la Joie, pas l’Amour, pas la Vie, pas la Tristesse qui me sauveront… Alors adieu, je vais faire un dernier geste…
Je vais faire ce pas…
Un pas vers la Mort…
Extrait 3 : C'est le prologue d'une fanfic sur Harry Potter.
- Spoiler:
- « Avada Kadavra ! » Quatre fois. Quatre tirs. Quatre vies en moins.
Le mage noir observa ses victimes. Le père, un homme aux cheveux bruns et aux yeux noirs. Un puissant sorcier mais pas aussi puissant que le mage noir. La mère, une grande sorcière aux courts cheveux blonds et aux yeux bleus. Le fils, un garçon de dix-huit ans à peine, grand brun aux yeux bleus, il aura eu un anniversaire unique. Un anniversaire qu'on ne peut pas refaire... La fille, une belle jeune femme blonde avec des yeux uniques. Quinze ans tout au plus...
Le mage noir se mit à rire. C'en était fini de la famille Hime. La famille qui avait plusieurs fois manqué de le tuer. Il partit, heureux d'avoir tué, laissant derrière lui quatre cadavres.
Au même moment, chez les Dursley, Harry Potter sentit sa cicatrice le brûler. Il réprima un petit cri et serra les dents. Voldemort était heureux. Il avait tué...
La rentrée approchait à grands pas pour tout le monde, mais pas pour Harry qui sentait ses journées s'étendre en longueur. Les Dursley lui menaient toujours la vie dure mais Harry avait fini par s'y habituer. Heureusement pour lui, son anniversaire, il allait le passer chez les Weasley en compagnie de ses amis. Harry soupira et s'allongea sur son lit en attendant que la journée passe.
Les derniers jours qui rapprochaient Harry de chez les Weasley se terminèrent. Le jeune Potter fit ses valises et partit chez ses amis où il fut reçut à bras ouvert. Il ne parla à personne de la vision qu'il avait eu. Personne ne voulait comprendre que Voldemort était revenu. - « Bon anniversaire Harry ! » s'écria Hermione Granger. - « Ouais ! Bon annif mon vieux ! » renchérit Ron Weasley, le meilleur ami d'Harry. - « J e te ferais remarquer Ron que tu es plus vieux que moi ! Tu es né le 1er mars tandis que moi c'est le 31 juillet ! » se moqua Harry. - « Oui bon ça va hein ! » grogna Ron en voyant rire Hermione et Harry. La soirée se passa dans la bonne humeur tandis qu'à des kilomètres de cette ambiance joyeuse, ce qui n'aurait pas dût se réveiller allait le faire...
Extrait 4 : Seulement si le prologue vous a plu, c'est le chapitre 1
- Spoiler:
-« Harry... » - « Hm... » - « Harry ! Aide-moi ! » Harry se réveilla en sursaut et s'aperçut qu'il se trouvait dans la chambre de Ron. Il toucha sa cicatrice et essaya de se rendormir sans y parvenir. Il descendit alors dans la cuisine et s'installa sur un banc. Harry passa sa nuit à réfléchir, à se poser mille et une questions quant à la nature de son insomnie, si bien qu'il finit par s'endormir sur son banc. - « Harry ! Harry mon chéri ! Il faut se lever ! » Harry ouvrit les yeux difficilement et se trouva nez à nez avec la mère de Ron. Elle lui sourit et fit entrer les autres jeunes dans la cuisine. Ron s'affala par terre et Fred tapa dans la main de George. - « Ha ha très drôle ! Je suis mort de rire ! » grogna Ron. - « Aucun humour petit frère ! » ricana Fred. - « Georges ? Tu peux me passer le pain s'il te plaît ? » demanda Hermione. - « Mais tout de suite très chère ! J'y cours, j'y vole, j'y... » - « T'embêtes pas à faire tout ça, il est juste devant toi... » le coupa Ginny. - « Exact ! » Le petit déjeuner se passa tranquillement mais Harry n'arrivait pas à avaler quoi que ce soit. Son estomac était comme paralysé. - « Tu ne manges pas, Harry ? » demanda Molly. - « Je n'ai pas très faim... » mentit celui-ci. Hermione le regarda en fronçant les sourcils et se pencha au dernier moment pour éviter une tartine volante. - « Ron ! » hurla-t-elle. - « Mais c'est Fred qui... » commença Ron. - « N'importe quoi ! » démentit le rouquin accusé. - « Les enfants ça suffit ! » - « Oui m'man. » répondirent en cœur les Weasley concernés. - « J'espère que vos affaires sont prêtes pour demain ! » - « Oui m'man ! » s'exclama Fred. - « Et que... » - « Oui m'man ! » l'interrompit Fred. Molly leva les yeux au ciel et expédia tout le monde dans leurs chambres. Hermione rejoignit Harry et Ron. - « Pourquoi tu n'as rien mangé Harry ? » le questionna Hermione. - « J'avais pas faim. » répondit-il simplement. Elle ne répondit pas et se contenta de fixer Harry. - « Je sais que je suis beau mais... » commença-t-il. - « Crétin ! » l'interrompit Hermione en lui frappant la tête. - « Aïe ! Je rigolais ! » se défendit Harry. Hermione lui sourit et remonta dans sa chambre. Harry soupira, s'allongea sur son lit et s'endormit doucement. - « Eh ! Et si on lui versait un seau d'eau sur la tête ? » - « Ouais ! Bonne idée Georges ! Je vais le chercher ! » - « Vous faites ça, je vous tue ! » Harry ouvrit les yeux et s'assit calmement dans son lit pendant que Ginny foudroyait du regard les jumeaux. - « Oh t'énerves pas Ginny ! C'était pour rire ! » - « Très drôle Georges ! » - « Roh ! Si on peut même plus rigoler ! » - « Georges ! » s'énerva Ginny. - « Compris cinq sur cinq ! On se barre Fred ! » - « Hein ? » - « En vitesse vieux ! » Les jumeaux disparurent en courant. - « Merci Ginny. Je crois que je n'aurai pas trop apprécié l'eau glacée... » plaisanta Harry. - « De rien ! Mais en fait, je voulais te poser une question... » dit Ginny d'une voix mal assurée. - « Vas-y. » l'encouragea Harry. - « Je voulais savoir si... » Elle ne termina pas sa phrase, coupée par l'entrée peu discrète de Ron. - « Nan mais elle se croit où Hermione ! » s'énerva Ron. - « Ron... » commença Harry. - « Mais t'imagines ? Elle refuse que j'entre dans sa chambre comme ça ! » - « Ron... » - « J'dis pas si elle avait des formes encore, mais là... » - « Ron ! » l'interrompit Harry. Mais Ginny partit en rougissant laissant Ron qui ne comprenait plus rien avec Harry qui frottait sa cicatrice en signe d'énervement. - « J'ai fait une gaffe ? » demanda Ron. - « Ouais. Et en plus je te ferais remarquer que c'est tout à fait normal qu'Hermione ne te laisse pas rentrer dans sa chambre. Et je rajouterais, pour terminer, qu'elle a des formes. » termina Harry en se rallongeant sur son lit. - « Ah ? » commença Ron, très intéressé. - « Ne me demande rien d'autre, je ne l'ai jamais vue nue. Compris ? » - « Ok, ok. » s'exclama Ron, déçu. La journée passa rapidement entre les courses poursuites... - « Fred si je t'attrape je te jure que tu vas passer un sale quart d'heure ! » hurla Ginny. - « C'est bien pour ça que je fuis ! » Les rires... - « Ron, ce n'est pas parce que tu as la capacité émotionnelle d'une cuillère à café qu'il en va de même pour tout le monde ! » - « Pourquoi ça me retombe toujours dessus ?! » gémit le rouquin. Pour finalement arriver au moment du départ. Molly s'agita de tout les côtés afin d'obliger tout le monde à partir. - « Si vous ne descendez pas dans dix secondes, je vous laisse là ! » hurla Mme Weasley. - « On arrive maman ! » s'écria Fred. - « Ce n'est pas possible d'être toujours en retard à ce point ! » - « Bah si c'est possible ! La preuve ! » termina Fred en arrivant à côté de sa mère. Ils partirent tous. - « Chéri ! Arrête de regarder ce moldu avec autant d'attention ! Il va nous trouver bizarre !» chuchota Molly à son mari. - « Je crois que c'est déjà fait. » soupira Hermione tandis que Fred et George éclataient de rire. Après plusieurs arrêts, ils finirent par arriver à la gare de King's Cross et traversèrent un mur pour arriver sur le bon quai. Molly respira enfin et Ginny soupira de soulagement : le train était toujours là. Molly expédia les adolescents dans le train en leurs faisant de grands signes de main. Le train partit enfin. - « On se cherche un compartiment ? » demanda Ron. - « N on, non ! On pose nos bagages et on fait la danse de la pluie ! » se moqua Hermione. - « Pas besoin de faire la danse de la pluie. Il pleut. » remarqua simplement Harry. Ils réussirent à trouver un compartiment vide où ils purent tous s'asseoir. Hermione se plongea dans un magazine, Ron regardait Hermione fixement. - « Qu'est-ce que tu fais Ron ? » chuchota Harry. - « Je regarde si elle a des formes. » répondit le rouquin. Harry soupira et prit la Gazette du Sorcier. Il regarda les nouvelles et son regard fut attiré par un article. - « Ça alors ! Vous avez vu ça ? » s'exclama Hermione. - « Voir quoi ? » demanda Ron, le regard toujours fixé sur la brune. - « Autre chose que ma poitrine en tout cas, abruti ! » - « Ah ? » - « Une famille de sang-pur a été assassinée ! » - « Dis-moi que c'est celle de Malefoy ! » - « Ron ! On ne rigole pas avec la mort ! » - « Ouais ouais... » - « Apparemment, c'était la famille qui avait réussit à détrôner Vous-savez-qui juste avant qu'il attaque Harry. » Le brun ne dit rien et se contenta de lire l'article. Assassinat d'une famille.
Le 31 juillet, la famille Hime a été retrouvée morte. Les enquêteurs chargés de l'affaire pensent à une vengeance. Les trois membres de la famille ont été tués en un coup par un sort entraînant inévitablement la mort : l'Avada Kadavra ! La date de leur mort a été estimée au 30 juillet. La famille Hime aurait-elle déclenché les hostilités avec un adversaire trop puissant ? Il semblerait qu'il y ait eu une survivante. En effet, cette famille connue pour sa puissance, était composée de deux enfants ; or, les enquêteurs n'ont retrouvé qu'un corps... Mais l'hypothèse de la fille tuant sa famille a été immédiatement refusée par l'entourage. Harry s'arrêta de lire car sa cicatrice le brûlait. Voldemort était furieux. - « Qu'est-ce qui t'arrive Harry ? » demanda Hermione. - « Rien. » - « Alors pourquoi tu frottes ta cicatrice ? » - « De toute façon, même si je vous dis que Voldemort est revenu, vous ne me croyez pas ! » s'énerva Harry. - « Mais... » - « Ça ne vous suffit pas cette preuve ? Une famille qui avait failli tuer Voldemort est retrouvée assassinée ! Par des Avada Kadavra en plus ! Mais vous ne voulez toujours pas croire au retour de Voldemort ! » Le brun se leva et partit en claquant la porte du compartiment. Il frappa du pied et regarda à travers la fenêtre. Il aperçut Poudlard et soupira, il allait enfin pouvoir parler de sa cicatrice à Dumbledore. Harry retourna dans le compartiment et prit ses bagages sans faire attention à ses amis. Il monta dans une calèche et se retrouva dans celle occupée par Malefoy et sa bande. « Mauvais choix » pensa le brun, mais toutes les autres calèches étaient déjà remplies, il s'installa donc le plus loin possible de Malefoy. - « Oh ! Mais le petit Potter est là ! » ricana le blond. - « Lâche-moi Malefoy ! » - « On est sans ses petits amis ? Weasmoche et Sang-de-bourbe ? » - « Je t'ai demandé de la fermer Malefoy ! » Le blond s'apprêtait à répliquer lorsque quelqu'un entra dans la calèche. L'inconnu portait une grande cape blanche qui recouvrait tout son corps, ne laissant apparaître que ses mains. Le silence se fit immédiatement dans la calèche et l'inconnu s'installa près de Harry, la seule place qu'il restait. Les sombrals se mirent en marche et l'inconnu tourna la tête vers la fenêtre laissant Harry pensif mais néanmoins protégé de Malefoy qui n'osait plus rien dire. Arrivé à Poudlard, Harry descendit en dernier de la calèche et retrouva ses amis qui l'attendaient dehors. Ils se dirigèrent vers le dortoir des Gryffondors et finirent par descendre dans la grande salle afin de manger et de voir la répartition des nouveaux élèves. Une fois tout le monde installé, juste avant l'arrivée des nouveaux étudiants, Dumbledore prit la parole. - « Je sais que c'est le moment que vous attendez tous : la répartition des nouveaux arrivants. Mais, juste avant qu'ils arrivent, j'aimerais vous informer de quelque chose. » Le silence se fit dans la salle et tout les visages se tournèrent vers le directeur. - « Cette année, et pour la première fois depuis la création de Poudlard, nous allons accueillir un nouvel élève. Pas un nouvel élève comme les autres car il, ou plutôt elle, ira à Serpentard en cinquième année ! » Immédiatement, le brouhaha reprit. Qui était donc cette nouvelle élève ? Que se passait-il pour qu'il y ait un nouvel élève atterrissant comme ça dans une maison choisie et en plus, en cinquième année ? - « Je vous demande de bien l'accueillir. » Et il se recula laissant apparaître l'inconnu en cape blanche qui avait été à côté d'Harry durant le trajet en calèche. Les mains blanches firent retomber en arrière le haut de la cape, laissant apparaître de longs cheveux blonds dorés, un visage pâle et beau et surtout, des yeux d'un vert extraordinaire qui réhaussaient encore la beauté de la jeune femme. Elle marcha jusqu'à la table des Serpentards suivie par tout les regards. Malefoy, en la voyant arriver, vira Crabbe afin de laisser une place à la nouvelle. Celle-ci s'y installa calmement et les nouveaux élèves entrèrent dans la salle, totalement intimidés. Mais la répartition n'intéressait pas Harry. Il gardait les yeux rivés sur la blonde. Il l'avait déjà vue, mais il ne savait plus où. Le repas se passa dans la joie et finalement, tout le monde regagna les dortoirs. Harry suivit des yeux la nouvelle tandis qu'elle allait dans le dortoirs des Serpentard, accompagnée de Malefoy, Crabbe et Goyle. - « Ah merde ! On commence les cours par deux heures de potion avec les Serpentards ! » soupira Hermione. - « On est maudit ! C'était pareil l'année dernière ! » s'exclama Ron. - « Mignonne la nouvelle, non ? » - « Oh... Salut Fred. » - « T'as pas l'air dans ton assiette Harry ! Qu'est-ce qui t'arrive ? » - « J'ai l'impression de l'avoir déjà vu quelque part... » - « Moi je suis sûr que je n'ai jamais vu des yeux aussi magnifiques ! » s'exclama Fred, rêveur. Hermione soupira mais George la força a avouer que la nouvelle avait, effectivement, de très beaux yeux. Ils allèrent se coucher après avoir rangé leurs affaires. Et le lendemain, après avoir prit leurs petits déjeuners, ils se préparèrent pour aller supporter deux heures de potions avec les Serpentards.
[size=9]Donc bah comme je l'ai dit, si vous avez besoin de plus de texte je peux vous en donner. Et donnez-moi un thème si vous voulez Maintenant, je vais attendre qu'un admin ou un modérateur me dise l'exercice auquel je serais soumis.
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